Il a une bonne bouille, des cheveux bouclés, de larges épaules. Et un regard noir qui rend le premier contact un peu frais. Quand on le sollicite pour un portrait, Arié Alimi commence par dire non : « Pas envie de passer devant mes causes. » Mais lorsqu’on le croise au tribunal, il change d’avis. « Il va bien falloir assurer la promo », nous dit alors l’avocat qui publie « le Coup d’Etat d’urgence » (Seuil). Seulement, un doute le...
source: L'Obs