Ce devait être une Blitzkrieg, c’est devenu une guerre de tranchées. Pour acquérir son principal concurrent Suez, Veolia avait prévu à l’été de lancer une Guerre éclair. Sûr du soutien de l’Élysée, de ses syndicats, de ses actionnaires (notamment public, comme la Caisse des Dépôts), d’Engie, propriétaire d’un bloc de 30 % d’actions, Antoine Frérot, son PDG, avait ses éléments de langage : constituer « un champion français des services à...
source: Marianne