Il y a un peu plus d’une année, ce n’était pas encore le Hirak [mouvement de contestation] mais les premiers “dégage” fusaient déjà dans les stades. Le peuple ne voulait pas de Rabah Madjer à la tête de l’équipe nationale de football. L’affaire était sportive, mais avec beaucoup d’arrière-pensées politiques. Pour le public, Madjer n’était pas nommé au poste pour ses compétences de coach, qu’il n’a du reste jamais étalées ailleurs. Beaucoup y ont vu la main...
source: Courrier International