"Les douze heures de route et les 1.000 kilomètres sont déjà oubliés", se réjouit Philippe Esvelin, passionné d’histoire. Presque par hasard, il a mis la main sur des décorations de guerre, des testaments - encore scellés - et des lettres manuscrites datant de la Seconde Guerre mondiale, qui dormaient dans un coffre chiné il y a dix-sept ans. "Assembler les pièces du puzzle"
À l’aide des réseaux sociaux, Christian Hervault, le fils de Jean et Jeanne, a été...
source: Varmatin