Avec notre correspondant au Caire, Alexandre Buccianti
La décision du gouvernement s’explique par le fait que le corps médical égyptien, surnommé « l’Armée blanche », a subi de très lourdes pertes. Depuis le début de la pandémie, plus de 200 médecins ont été tués par le Covid-19, sans parler du reste du personnel soignant.
Au pic de la pandémie les médecins avaient même menacé de se mettre en grève et avaient obtenu une amélioration de leurs conditions...
source: RFI