Ce n’est pas pour rien que ce chercheur allemand aux manières discrètes est aujourd’hui la bête noire du régime chinois. Depuis 2017, soit très vite après le début de la campagne de destruction lancée par les autorités chinoises contre la minorité ouïgoure, il a puissamment contribué à faire connaître au monde ce crime que Pékin voulait garder secret. C’est grâce à ses travaux que les premières informations concernant les camps d’internement au Xinjiang ont pu être...
source: L'Obs