Benoît Decron, directeur des musées du Grand Rodez (dont le musée Soulages), l’admet : il n’est pas d’un naturel triste, ni d’un tempérament déprimé ou découragé, « plutôt Speedy Gonzales que Calimero » plaisante-t-il. Cette crise sanitaire a beau être un défi, le conservateur en chef du patrimoine considère que « l’art, c’est avant tout l’art de s’accommoder des contraintes ». Et, devant les collègues du monde du spectacle et du cinéma, il serait...
source: Marianne