La plupart des images sont « insoutenables ». Pourtant, les gendarmes du centre de lutte contre la criminalité numérique vont être obligés de toutes les visionner, afin de tâcher d’identifier les victimes. Depuis plusieurs semaines, plus d’une cinquantaine de gendarmes, répartis dans 29 unités françaises, travaillaient en effet à abattre un vaste réseau de diffusion de fichiers pédopornographiques. C’est désormais chose faite, selon le JDD, qui relate dans sa dernière...
source: Valeurs Actuelles