Dans à peine 18 mois, il y aura vingt ans déjà que Jean-Marie le Pen accédait au second tour de l’élection présidentielle. La crise profonde de la vie politique française éclatait au grand jour et ne cesserait depuis, d’illustrer chaque jour davantage « le malheur français » pour reprendre l’expression de Marcel Gauchet.
Le 21 avril 2002 ne doit rien au hasard et les tentatives d’en faire porter la responsabilité à Jean-Pierre Chevènement ne furent que de...
source: Marianne