Dans deux tribunes, l’une datant du 27 mars et l’autre du 11 mai 2020, nous nous inquiétions des risques à court, moyen et long terme d’un basculement progressif d’une psychologisation ordinaire des individus à une psychiatrisation de masse. Aujourd’hui, tous les indicateurs sont au rouge.
Par-delà la crise sanitaire, avec la peur du virus et les problématiques économiques qu’elle engendre, une montée des angoisses et des dérélictions s’est immiscée dans les...
source: Marianne