En 2009, Colombo avait écrasé dans le sang la rébellion tamoule : 40 000 civils tués dans les derniers mois du conflit selon les défenseurs des droits de l’homme, également des hôpitaux bombardés, des rebelles exécutés alors qu'ils s’étaient rendus.
Pour Michelle Bachelet, l’échec du Sri Lanka à établir des responsabilités a « enraciné l’impunité » et « exacerbé la méfiance des victimes à l’égard du système ». Pourtant en 2015, Colombo...
source: RFI