Il n’en finit pas de muter et son variant anglais galope plus vite que lui. Plus contagieux mais pas plus dangereux, le virus gagne du terrain.A l’institut Pasteur des Abymes, la traque a déjà commencé il y a deux semaines avec un kit de criblage. Une fois les prélèvements positifs analysés et les gènes isolés, c’est l’heure de vérité. On essaye d'identifier les différents variants anglais, brésilien et sud-africain. Mais ici, c'est le...
source: La 1ere